Je préfère préciser avant d’entamer mon histoire, qu’avant que cette expérience m’arrive, je ne croyais pas du tout en la magie, la voyance et tout ce qui tourne autour de l’ésotérisme ou du spiritisme. J’ai été élevé dans une famille très traditionnelle et j’ai toujours eu les pieds sur terre.
Mais il se trouve que par le plus grand des hasard (ou destin?), je me suis retrouvé à aller chez une authentique sorcière adepte de magie blanche (qui ne fait aucun mal aux autres). Comment ais-je pu en arriver là, me demanderez-vous.
C’est très simple. J’ai une amie d’enfance qui a des parents à l’opposé des miens et don je suis tombé amoureux dès l’école primaire. Même si j’ai connu d’autre fille, je lui resté fidèle dans mon coeur, en espérant qu’elle voudrait bien de moi. Je ne lui avouais rien, car j’avais bien trop peur qu’elle ne veuille plus jamais me voir et que notre amitié connaisse son terme.
Mais ses parents qui ne sont pas dupes, ont toujours bien vu que j’étais fous d’elle, et me charriat souvent avec ça, dès qu’elle avait le dos tourné. J’ai bien une fois essayé de faire une insinuation, mais sa réaction froide m’a fait bien comprendre que je n’avais rien à espérer.
Un jour, nous avions vingt-et-un an tous les deux, nous étions chez elle entrain de discuter en regardant un film et en se gavatn d’oursons en chocolat (notre activité favorite), quand ses parents son venus lui demander de les accompagner chez des vieux amis à eux. Elle a levé les yeux aux ciels, signe qu’elle n’en avait pas tellement envie. Mais comme ses parents insistaient, arguant le fait qu’elle ne les avait pas vu depuis petite et qu’ils seraient ravis de la revoir, elle se leva et se prépara pour y aller.
Les parents me demandèrent si je voulais les accompagner. M’imaginant une vieille tante barbante, j’hésitais beaucoup, mais je finis par accepter, ayant surtout envie de suivre ma belle.
On a roulé dans la campagne jusqu’à une vieille bicoque entourée d’un jardin aux allures de jungle. Leur porte n’avait pas de sonnette, mais un heurtoir à l’effigie d’une chouette. Une femme superbe vint nous ouvrir, elle avait un immense châle et des cheveux roux frisés flamboyants. Elle nous fit entrer et nous installa sur des tapis et des coussins.
Je regardais tout autour de moi, il y avait des bougies immenses et d’autres bien entamées, des statuettes de tous les pays, des tentures multicolores et des poutres apparentes. Elle nous servit du thé qu’elle avait préparé elle-même à partir de fleurs et de plantes de son jardin. C’était délicieux et je me sentais vraiment à mon aise, confortable. Mon amie parti dans le jardin pour se promener…
(la suite dans le prochain article!)